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LA FAMILLE

OFFRIR UN AVENIR 

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PLUS DE PLACES EN CRECHE

Le manque de places en crèches est criant dans certains quartiers en Région bruxelloise. Il faut revoir à la hausse les ambitions en matière de création de places et à ouvrir 10.000 nouvelles places en crèche en plus des 5.240 déjà programmées sous cette législature. Cela permettrait d’atteindre une couverture d’une place pour deux enfants de 0 à 2,5 ans. 

LUTTER CONTRE LA PAUVRETE INFANTILE

Il faut augmenter les allocations familiales et renforcer le système mis en place en 2020 sous l'impulsion du PS, dans la lutte contre la pauvreté infantile et le soutien à la parentalité. Octroyons le supplément social aux familles monoparentales précaires à partir du 1er enfant et en ouvrant le droit aux allocations familiales aux familles sans titre de séjour dont les enfants sont scolarisés.

SUPPRESSION DU STATUT DE COHABITANT 

Ce statut doit être supprimé pour permettre aux personnes qui ont décidé de cohabiter de bénéficier d’un taux plein. L’individualisation des droits sociaux est une évidence qui permettrait à chacun de s’en sortir dignement. La réalité d’aujourd’hui et l’évolution des modes d’habitat nous poussent à s’interroger sur cette absurde situation administrative qui réduit l’accès aux droits de certains et à le réformer.

NOTRE VISION

UN LOGEMENT QUALITATIF POUR UNE ÉMANCIPATION SOCIALE

Il est essentiel que l’aide à la jeunesse, levier de la lutte contre la pauvreté et réceptacle des situations les plus critiques pour lesquelles les autres secteurs n’ont pu trouver de solution, reçoive un investissement à part entière

 

Un enfant sur trois à Bruxelles vit sous le seuil de pauvreté à Bruxelles. Malgré les efforts déjà fournis pour réduire les discriminations ou garantir l’accessibilité des services publics, les enfants restent davantage exposés au risque de pauvreté que les adultes. Les différentes crises de ces dernières années (Covid 19, guerre en Ukraine, niveau d’inflation jamais atteint depuis plus de quarante ans…) n’ont fait qu’aggraver la situation et augmenter la nécessité d’un secteur de l’aide à la jeunesse fort.

 

Le nombre de jeunes pris en charge par l’aide à la jeunesse s’est accru de manière considérable, principalement dans les grandes villes. La transmission intergénérationnelle de la pauvreté est, hélas, une triste réalité.

 

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous devons être particulièrement attentifs au passage vers l’autonomie lorsque ces jeunes deviennent majeurs et quittent les institutions de l’aide à la jeunesse. Il faut pouvoir les accompagner au mieux pour éviter que ces jeunes, particulièrement vulnérables, n’entrent dans le cercle vicieux de la reproduction intergénérationnelle de l’exclusion sociale et de la pauvreté.

 

Chaque année, ce sont plus de 40.000 enfants ou jeunes qui sont pris en charge par un service de l’aide à la jeunesse et de la protection de la jeunesse. La prévention touche, quant à elle, des milliers de jeunes dans nos quartiers les plus sensibles, favorisant leur émancipation sociale, leur participation citoyenne et sociale. Il est, pour cette raison, indispensable de les accompagner dans leur accès aux droits. Pour le PS, chaque enfant, chaque jeune doit disposer des chances égales d’émancipation afin d’échapper au déterminisme social. C’est pourquoi le respect des droits de l’enfant doit être l’étalon de toutes les politiques touchant les enfants et les jeunes.

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